Alceste à bicyclette par Eklektik
Y'en à marre de ces films qui se regardent le nombril. Encore de la masturbation pseudo intellectuelle. Il ne se passe pas grand chose, hormis les vagues à l'âme de deux bourgeois proches de la retraite dont on se fout éperdument. L'île de Ré, décor si snob même en hiver. Des dialogues à n'en plus finir ... sur des sujets mille fois abordés. C'est ringuard, tout simplement. Alors, on à le choix : Astérix pour la "vile populasse" ou Alceste pour la "triste bourgeoisie rentière proche de la maison de retraite". Balzac tu nous manques !
On peut critiquer le cinéma américain ... mais alors, sachons balayer devant notre porte.
Bref, je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'à la fin, cela sentait trop la naphtaline, ou je n'avais pas les bons médicaments, peut-être.