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Eloge de la paresse
Le travail c'est la santé Le travail c'est la santé Rien faire c'est la conserver Les prisonniers du boulot N'font pas de vieux os. Ces gens qui cour’nt au grand galop En auto, métro ou vélo ...
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le 5 nov. 2014
21 j'aime
8
Faut prendre son temps !
Poète anticonformiste, à travers "Alexandre le bienheureux", Yves Robert lance un cri en faveur de la liberté.
Méprisant le con-ditionnement ambiant, le réalisateur prend le "pouvoir de dire NON" à travers l'histoire d'Alexandre, agriculteur du Perche (près de Nogent-le-Rotrou) esclavagisé par "la grande" qui le mène à la baguette à coups de "snaps" dans les oreilles.
Grâce à un coup du destin, Alexandre ne fait plus rien du jour au lendemain, ce qui ne manque pas de susciter la perplexité des autres villageois.
Ce film, tout comme "le petit Prince" et "le roi et l'oiseau" est un hommage rendu à la nature, à l'hédonisme (et non une éloge de la paresse), ainsi qu'une réflexion profonde sur le nécessaire, le superflu et la connerie normative.
Un régal pour petits et grands. Rien que pour le chien, le film vaut le détour.
Méprisant le con-ditionnement ambiant, le réalisateur prend le "pouvoir de dire NON" à travers l'histoire d'Alexandre, agriculteur du Perche (près de Nogent-le-Rotrou) esclavagisé par "la grande" qui le mène à la baguette à coups de "snaps" dans les oreilles.
Grâce à un coup du destin, Alexandre ne fait plus rien du jour au lendemain, ce qui ne manque pas de susciter la perplexité des autres villageois.
Ce film, tout comme "le petit Prince" et "le roi et l'oiseau" est un hommage rendu à la nature, à l'hédonisme (et non une éloge de la paresse), ainsi qu'une réflexion profonde sur le nécessaire, le superflu et la connerie normative.
Un régal pour petits et grands. Rien que pour le chien, le film vaut le détour.
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le 18 déc. 2014
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