Je ne saurai dire mieux que Iannis, ayant publié son avis sur une autre plateforme, aussi je me permets de reproduire ici sa critique :
Je rédige ma première critique sur ce film et me suis inscrit uniquement pour le faire. rarement ai-je eu autant l'impression de voir un réalisateur me déféquer au visage ses propres pulsions lubriques, pseudo-intellectuelles misérables et ses réflexions sociales niveau CM2. Sous prétexte de s'inspirer de Festen de Vinterberg ou de Théorème de Pasolini, Algunas Bestias nous propose une fresque familiale vide et interminable, uniquement animée par les penchants sexuels putassiers et vulgaires des grands-parents de la famille. lorsque' elle n'est pas en plan fixe sur le vide abyssale et l'absence de crédibilité absolu des relations intra-familiales. Mention spéciale à la relation frère-soeur, inspiré des meilleurs productions Brazzers, sauf qu'ici le demi-soeur n'est même pas précisé, tant il est assumé que ken une adolescente, si c'est en famille quand on est riche, c'est normal, les riches sont méchants. Ladite adolescente étant également lubriquement filmée en nue pendant de longues minutes qui feront passer La Vie d'Adèle pour un film financé par l'Eglise. Trois scènes d'ennuis, deux scènes de viols excusés par le scénario, et une interminable heure quarante plus tard, on ressort de ce film en se sentant insulté et sali, en plus de s'être royalement fait chier. A fuir absolument.