Dire que ce film a une complaisante odeur de putois pestiféré saupoudré de souffre serait un euphémisme. La mauvaise qualité de chacune des scènes est si flagrante qu'elle permettrait aux aveugles de sentir au moins un avantage à leur situation.
En reprenant la définition que Jean-Luc Godard fait du cinéma " une photographie, c'est la vérité et le cinéma c'est 24 fois la vérité" nous pouvons définir ce blasphème du cinéma américain: "une image d'Apocalypse now équivaut à un détritus, 24 images correspondent à une décharge placée dans une fosse commune elle-même plongée dans l'étang de Berg que même les rats fuieraient!"