Critiques de Ariel

Taisto Kasurinen (Turo Pajala) se retrouve au chômage. Les premiers plans montrent la fermeture définitive de la mine où il travaillait. On le voit ensuite dans un café. Le vague à l’âme, il discute...

Kaurismäki est probablement un des seuls cinéastes vivants à savoir dresser des contes aussi concrets, simples et pourtant bouleversants. A partir d'archétypes, de situations quasi-banales, il fait...

Les films de Kaurismäki se suivent et se ressemblent, et c'est peut-être pour le mieux. Ancrant comme toujours son récit dans une étude faussement naïve du prolétariat finlandais, le réalisateur...

"Ariel" (titre dont le sens n'apparaît qu'à la fin du film) est le 2ème segment de ce qu'on a appelé la trilogie prolétarienne de Kaurismaki, après "Shadows in Paradise" et avant "La Fille aux...

Un univers si particulier qu'on reconnait les films de Kaurismaki dès les premiers plans.Une histoire banale magnifiée par le réalisateur!7.5

-Un film d'auteur de Kaurismaki, ça date de 1988, c'est plutôt court et c'est une espèce de manifeste de bon cinéma : Quasi-muet, droit au but, simple, restriction maximale de tout effet que celui-ci...

Revu sur ARTE dans le cadre du cycle (en ligne) Akis Kaurismäki. A strange mix of "social realism", some outworldly blunt or unexpected lines, characters who keep moving but never like actors do,...

Pas de verbiage, peu d’explications, le héros avance dans sa vie droit devant lui et sans se plaindre, même lorsqu’il lui est fait injustice. Au loin, là bas, l’avenir, peut-être. La bande sonore...

Suite & fin de la trilogie du prolétariat de Kaurismäki, un film qui bénéficie plus de l’élan de réputation de son réalisateur que de son intérêt propre. Dans la continuité de Calamari Union...

Difficile de faire une critique sans rien raconter de l'histoire, ce qui est toujours mon but : préserver le plaisir du spectateur. Ici, Kaurismäki réalise un conte qui est un drame social mais...