Si cette paire d’acteurs est sûrement au sommet de leur art et qu’il faut reconnaître au film ses fulgurances (principalement dans sa première partie), je me dois de relever toutefois :
- la scène du serpent à la fois médiocre sur le plan scénaristique et d’une chorégraphie digne de la scène de la baston sur le rooftop de The Dark Knight Rises (https://www.youtube.com/watch?v=Ja8cHYtF8n4) ;
- la prétendue leçon de cinoche finale (clip digne d'une attraction du Futuroscope), allant de Méliès au Avatar de 2009, pourtant visionnée dans les années 50, par un Diego Calva plutôt mauvais dans l'exercice du mexicano-américain qui verse dans le premier lorsqu'il s'énerve.
Bon voilà, ce genre d'éléments viennent parasiter ce bon produit d'ensemble et c'est d'autant plus rageant.
J'aime ce dont me parle cette fresque de 3 heures, mais in fine l’exubérance devient indigeste et l'intensité monotone.
Mouais…
5,5/10