Quand un film vous fait pleurer pour quelque chose d’heureux, c’est que c’est un bon film.
Pour ma part, quand j’ai vu ce film j’étais dans une période de doute, je suis lycéenne, je dois choisir mon futur, je stresse, je veux faire les bons choix… mais quand on a 18 ans et qu’on aime l’art, choisir un métier parmi tout les métiers artistiques c’est compliqué.
Jusqu’à ce que je vois Babylon.
J’ai toujours aimé le cinéma bien que je n’ai pas une culture cinématographique immense.
Damien Chazelle était donc nouveau pour moi, c’est le premier film que j’ai vu de lui et je m’en souviendrais toute ma vie.
Babylon est un film qui vous transporte dans les années 1920, au passage entre le cinéma muet et le cinéma sonore où toutes les atrocités possibles et inimaginables était vécus. Grâce à Damien Chazelle on voit toutes les coulisses du cinéma, l’époque où rien n’était trop extravagant et où tout le monde se pensaient immortels.
Babylon parle de drogue, d’alcool, de risque, d’art et de grand cinéma.
Car oui c’est ça le grand cinéma, c’est grâce a ses acteurs qui n’ont reculer devant rien pour sauver cet art, qui en sont mort ou qui en sont sorti traumatisés mais qui maintenant sont célébrés.
Quand je dit que je me souviendrais toute ma vie de ce film, c’est parce qu’il m’a ouvert les yeux. Entre le script, la musique, les costumes, les figurants, Babylon à honorer le cinéma car « le cinéma c’est du grand art » Jack Conrad