They shoot Assholes, don't they ?
Ce soir, nous vous proposons Christian Bale en rescapé de la guerre du Golfe à tendance psychopathe. Installez-vous, ça va commencer. 2h00 en compagnie d'un connard qui ne fait que des conneries de bourrin pas fini mais il faut lui pardonner, c'est la guerre cette salope. Christian, qui met tout ce qu'il a dans le rôle du mec à 3 neurones quand même capable de se faire embaucher par les Fédéraux parce qu'il a fait la guerre cette salope donc on le comprend chez les Fédéraux, et son ami Mike sensiblement influençable, font n'importe quoi tout le film parce qu'il n'ont pas trouvé la stabilité dans leurs couples et n'ont pas de job, ce n'est pas bien. Peut-être qu'une fois que Mike se rendra compte, tout à la fin, que son pote est un taré, alors ils arrêteront de fumer de la beuh, de boire des bières en conduisant vite, de chercher à refourguer un flingue ou de la came, de se taper des putas mexicaines et de jurer comme des charretiers, et qu'ils rentreront chez eux pour enfin vivre l'amour...
Non mais Bale qui joue le gros fêlé revenu de la guerre façon social sans déconner. Pas crédible. Et les copains d'abord je veux bien, mais un connard comme ça, je reste avec Eva Longoria.
Ceci dit, le final fait son job et tout n'est pas à jeter j'en conviens.