Je suis une Barbie dans un monde de Barbie !
Oh allez on se détend l’anus avant d’aller au ciné svp sinon ça va finir par plus du tout être marrant d’aller voir un film par contre.
Alors oui pour faire un film cool il faut des sous, breaking News ! Oui il faut des producteurs et oui parfois quand on veut s’attaquer à la poupée de notre enfance, il faut des marques (sans qui, soyons honnête, les références et les jolis détails en plastique n’auraient pas été aussi pointus).
Moi j’ai ri, je me suis régalée, ça m’a donné envie de porter mon kway rose pendant une semaine et je n’en suis pas moins féministe qu’avant ! Oops !
C’est évidement divinement bien joué par nos deux stars blondes, jusque là rien d’étonnant.
Je remercie ceux qui m’ont permis de sourire pendant deux belles heures, de la GreatA et ses punchlines réconfortantes au producteur qui aura placé ses plus jolis modèles de poupées pour peut-être les vendre à ma fille dans 5 ans ! Oh Mon dieu ! Je la laisserai tranquille à ce moment là, désolée j’ai d’autres combats que celui de l’empêcher de jouer avec une poupée (pour peu qu’on puisse la trouver en brocante).
Bref, le propos c’est merci de nous avoir fait croire qu’être une femme forte et belle c’était easy peasy lemon squeasy, ça a forcément du nous aider à un moment ou un autre. Maintenant si on pouvait, en effet, se rassurer et se réconforter avec d’autres modèles (et en effet la pauvre Margot Robbie parfaite en tout point même dans ses pires états ne peut pas faire ça) des modèles aussi détraqués, décalés et/ou dépressifs que nous… la vie serait certainement plus facile.
Moi je me suis pas sentie Ken en tout cas.