Ce film démarrait pourtant bien. Il aurait pu le rester s'il s'était contenté de se la jouer en mode Les Visiteurs en faisant interagir les poupées de Matel avec le Monde réel. Hélasce dernier est un monde fantasmé par Greta Gerwig (le prénom Greta désormais doit vraiment être vu comme un 🚩) avec un "patriarcat" complètement disproportionné et caricatural. Cet étron filmique se résume à une guerre des sexes puérile avec une morale plus que douteuse (+ des blagues en dessous de la ceinture, alors que le public de spectateur peut être jeune) sous couvert d'une sacrosaintenitouche inclusivité et trahissant peut-être même l'esprit des poupée Matel ("On peut être ce que l'on veut", oui mais pas n'importe quoi non plus je pense). Ce modèle de civilisation livré par la réalisatrice est terrifiant. Je trouve cela honteux de se service de cette marque pour véhiculer autant d'idées dégradantes sur l'Humanité (genre en quoi la Barbie enceinte est gênante, une femme a le droit d'avoir un enfant et de l'éléver). En ces dernières décennies difficiles où les relations entre les Hommes et les Femmes n'ont jamais été aussi difficiles ce n'est pas la peine de tuer de l'Amour entre les deux sexes (et si vous voulez les 350 000 genres du tableau périodiques que je ne connais pas, dsl) sous motifs d'un individualisme égoïste ou je ne sais quelles autres nuances de soi-disant émancipation. J'en veux pour preuve factuelle : Des Américaines ont rompu avec leurs amoureux après avoir vu le film en salle (plein d'articles en parlent). Quelle attitude immonde et profondément immature ! C'est dramatique quand ce genre de spectateur innocent soit complètement aliéné par cette chose.
Ce long-métrage cristallise tout ce qu'il ne faut pas faire avec une marque dans une adaptation aux messages wokes puants qui se retrouve aux oscars en raison d'une emballage plutôt redoutable (une véritable pomme empoisonnée) il faut le reconnaître. L'interprétation cabotinantes des ces caricatures ambulantes Robbie et Gosling en tête, contribue à tenir ce truc debout. Bon sang ! Dans quelle farce ces deux-là avec tout le talent qu'on leur connaît sont-ils allé s'embarquer. En comparaison la même année, l'adaptation Nintendo avec Mario Bross (2023), le film est excellente puisqu'elle n'a aucune véléité militantiste. Constatez que ce n'est pas difficile de faire des bons films aujourd'hui. Il suffit juste de mettre le sacrosaint cahier des chares inclusif des studios en veilleuse. Un jour j'espère que le public finira par comprendre cette supercherie, sinon le Monde va vraiment mal. Le concurrent de Barbie, Oppenheimer, lui au moins, a su traiter avec intelligence de son sujet.
Cette critique assassine contre ce "Crime contre l'Humanité" (nom d'une bonne critique que j'ai pu lire sur ce site qui se prête assez bien pour désigner le film) pourrait évoluer à l'avenir si jamais d'autres infos compromettantes finissaient par surgir.
Voici une critique édifiante dans Marianne par Marie-Jo Bonnet (spécialiste en Histoire des femmes) démontrant de A à Z l'imposture de ce film qui se prétend féministe alors qu'il ne maîtrise pas son sujet : https://www.marianne.net/agora/humeurs/barbie-sous-couvert-de-critique-du-patriarcat-une-veritable-entreprise-de-decervelage-feminin