Batman botte le cul des ninjas...
Et c'est plus ou moins la seule chose que j'ai retenu de ce film. C'était pas grandiose, et Bale a le charisme d'une huître morte traumatisée dans son enfance. Freud, prie pour lui.
Dépassée la phase initiatique japanisante, on retrouve un Gotham peuplé d'ordures vraiment trop méchantes. Mon dieu, mais ne serait-ce pas le vilain de l'Etrange Noel de M. Jack, avec un sac de jute sur la tête ?
J'ai fini perturbé, sans savoir quoi penser de ce à quoi je venais d'assister. Si Nolan est parvenu à cisailler le Batman qui le précédait directement (Batman & Robin et M. Nespresso...) les bonshommes gesticulants du début restent mon seul souvenir d'un film que je décrirais donc comme peu marquant.