Critique de par Eowyn Cwper
→ Quantième Art Après avoir fait plusieurs fois la démonstration par le vice de ce qui pousse l’homme à la luxure, & pressentant peut-être la perte de vitesse dans le registre de la comédie...
Par
le 30 mai 2020
2 j'aime
Critiques
→ Quantième Art Après avoir fait plusieurs fois la démonstration par le vice de ce qui pousse l’homme à la luxure, & pressentant peut-être la perte de vitesse dans le registre de la comédie...
Par
le 30 mai 2020
2 j'aime
nov 2011: 2e film du 33e Cinémed que je vois, un Pietro Germi en noir et blanc, très abimé, raturé, haché. Lors du générique, mon sang ne fait qu'un tour : il annonce des acteurs de la Comédie...
Par
le 20 avr. 2013
2 j'aime
1
Pietro Germi explore dans L’Immorale les paradoxes de la société bourgeoise. Fidèle à son habitude, il mêle satire sociale et drame intime, tout en dénonçant les tabous de l’époque, en particulier...
Par
le 13 nov. 2024
Fausse comédie qui permet de montrer l'immense étendue du talent d'Ugo Tognazzi. Cet acteur excelle dans les rôles ambigus et souvent antipathiques. Ici, il est adorable, et je crois que c'est la...
Par
le 3 août 2024
Sergio, violoniste, est marié et a trois enfants. Il vit également avec Adèle dont il a deux enfants et son autre maîtresse vient d'avoir un bébé. Ce n'est pas un méchant homme comme il le confie à...
le 29 août 2019