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Même si ce n'est pas Jacques Tourneur derrière la caméra, on ressent rapidement la griffe du producteur Val Lewton sur cette œuvre, d'autant que Mark Robson aura rarement été aussi inspiré qu'ici...
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le 18 janv. 2018
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Même si ce n'est pas Jacques Tourneur derrière la caméra, on ressent rapidement la griffe du producteur Val Lewton sur cette œuvre, d'autant que Mark Robson aura rarement été aussi inspiré qu'ici. "Bedlam" fait partie de ces œuvres à part, habile croisement entre fantastique et poésie. Si l'ensemble est très soigné, on est également séduit par le climat onirique qui règne de bout en bout, dont le point culminant est la présence d'Anna Lee dans l'asile. Rarement film aura alors trouvé une telle dimension poétique, de mystères d'une singulière beauté. L'interprétation de Boris Karloff vient conforter cette impression pour un film (vraiment) pas comme les autres. À (re)découvrir.
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le 18 janv. 2018
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