Big Jake est un western de bientôt cinquante ans. A l’époque, John Wayne avait déjà de la bouteille dans le genre et de bonnes rides. Pourtant, il y a toujours cette envie de jouer chez l’acteur et de porter cette histoire plutôt convenue.Alors, vous vous laissez embarquer malgré des ficelles archi utilisées, des scènes vues et revues.Un western à l’ancienne, c’est tout de même une pièce dans l’histoire cinématographique.Cela convoque des premières sensations de plaisir d’un cinéma pop corn. Ici, on se demande si John Wayne va sauver son petit-fils jusqu’au bout et quelques moments sont bons.C’est tout ce qui compte et vous passez les deux heures nonchalamment sans vous attendre à un twist ou à un coup de génie. Tout finit bien et on aura passé quelques temps dans un univers codifié où l’original est secondaire. Ça repose les neurones et ça fait vraiment du bien.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Films 2020
Créée
le 1 janv. 2020
Critique lue 291 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Big Jake
Big Jake fait partie des westerns de la fin de carrière de John Wayne, comme Chisum, Rio Lobo, les Voleurs de trains, les Cordes de la potence ou Une bible et un fusil, souvent moins chargés en...
Par
le 25 juil. 2019
21 j'aime
10
Ca commence plutôt pas mal, un peu comme Lucky Luke contre Joss Jamon, avec cette petite bande de pourritures dont on présente le pedigree avant de les voir à l'oeuvre. Le problème, c'est qu'après,...
Par
le 2 mai 2011
17 j'aime
6
Du 100% Wayne Factory. Avec John, le daron en acteur principal, à la réalisation (même si non crédité) et à la production. Y'a même deux fistons du Duke pour jouer sa progéniture. Sans oublier...
Par
le 28 avr. 2011
16 j'aime
6
Du même critique
Ce qui marque d’entrée dans Eiffel est la qualité des scènes d’époque du côté de Bordeaux où de Paris. Martin Bourboulon effectue une mise en scène épatante où chaque détail compte. Les extérieurs de...
Par
le 13 oct. 2021
40 j'aime
Je comprends mieux pourquoi nos voisins britanniques ont une affection si particulière pour Paddington.Ce petit ours péruvien et déraciné qui débarque à Londres a déjà un regard naïf mais pas tant...
Par
le 14 déc. 2014
25 j'aime
3
Jesuislà est un film retors car les vingt premières minutes du film ne vous préparent volontairement pas à ce qui va suivre. En effet, le spectateur a tout juste le temps de se baigner dans la vie de...
Par
le 7 févr. 2020
19 j'aime
