Je ne vais pas m'étaler sur ce film d'un réalisateur surfait qui... Si, il le faut ?
Bon, ok.
La toute première scène est juste magnifique et lyrique. Caméra virevoltante et grâce, et là je me dis "je me suis gourré sur Aronofski et ça va torcher sévère..."
... Ah ben non...
Nous retombons sur l'absence totale d'idée réelle sur l'élaboration d'un cadre, d'un sujet. Caméra ayant la bougeotte, musique envahissante, pseudos effets inutiles, image et photographie d'une laideur improbable, effets de manche film d'horreur dans le plus pur style "Nouvelle vague française" (pas celle d'il y a 30 ans, celle d'aujourd'hui), pseudo-twist débile (rêve ou pas rêve ? Rien à foutre, bro' !).
Ca aurait été marrant au passage ce traitement du monde de la danse comme un film d'horreur haha, mais non... Ca hésite, ça surligne, ça sort des évidences à la con et comme son Requiem for a dream, c'est d'une banalité affligeante ("bien, mal, miroir, mon beau miroir...").
Y avait de l'idée pourtant....
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