Des ailes pour mieux chuter
En grand fan de Woody Allen, je vais me permettre – une fois de plus – de le citer : « le sexe n’est sale que lorsque il est bien fait », a dit un jour ce petit – mais grand - monsieur.
Car voilà sur quoi repose ce film, le sexe dans son état le plus primitif, sauvage, instinctif, bestial et brutal, menant aux pulsions les plus noires, les plus fortes mais aussi les plus destructrices, de celles qui vous consument l’âme à la manière d’un feu sanguinaire assoiffé de noirceur calcinée, insulfant le mal dans un être pur, craintif et innocent, la belle et douce Nina, et la transcendant d'une sensualité malsaine, la menant à la quintessence de toutes ses/les pulsions : la Mort.
Darren Aronofsky, grand maître des films sociaux qui cognent ( Requiem for A Dream, The Wrestler, Fighter,… ) évite toute thématique sociale cette fois-ci et préfère s’attarder sur le personnage fascinant de Nina, danseuse craintive et angoissée, prête à tout pour...
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