Où sont nos jugements de valeur. Sont-ils dans notre aveuglement, où dans notre clairvoyance. Puisque matériellement la question semble être vite répondu; il suffirait de dire qu'il s'agit d'opinion, d'avis. Que ce sont des goût au sujet de couleurs.
Malgré cette apparente évidence, le film réussi à nous tromper.
Cette femme au regard perçant. Elle est dès le début montré comme une amante, nous somme ceux qui la verront tout du long comme l'hédoniste par excellence. Pendant que les autres femmes s'occupe de leur image, Ethéro va cueillir des mûres et contempler la rivière. Elle n'a pas de mari. Elle est seule et s'en rempli. Elle est engraissée, mais semble vivre plus que n'importe qui dans ce village. Personne ne la regarde, tout le monde la juge. Il en est de même pour les autres femmes, même les plus jeunes. "Êtes vous assez appétissant pour mériter des compliments ? Correspondez vous assez à ce que l'on dit que l'on est censé faire ou paraitre ?", en fonction, on fera varier les discours et les relations.
Celle qui voulait se préserver finira par être celle qui aime le plus le danger en conséquence, celle qui côtoie le plus une peur viscérale.
Une image agréable, un décor exotique, un monde dont-on a pas d'image. Tout cela semble convenir dans un film qui aime être brute. C'est en soit de l'amour.