1
Une daube
Si j'avais adoré le premier spectacle, celui-ci est une daube. Une vieille qui ne comprends pas le monde dans lequel elle vit. Contrairement au premier qui jouait sur l'humour noir et choquant en ne...
Par
le 9 oct. 2019
14 j'aime
4
Langage fleuri et introspection bien profonde !
La liberté de parole jubilatoire de Blanche Gardin. l’humoriste reprend son monologue au ton cru et désenchanté avec son troisième spectacle, impressionnant monologue pince-sans-rire mêlant observations névrotiques et vulgarité malicieuse. Après "Je parle toute seule", Blanche Gardin a été récompensée pour la deuxième année consécutive par un Molière pour sa nouvelle livraison, "Bonne nuit Blanche". A l'aube de ses quarante ans, l'humoriste pratique sur scène une longue introspection à la fois drôle, amusante et impertinente à coup de petites confidences et anecdotes vécues. La jeune femme passe ainsi en revue les petits travers de la société. Elle s'interroge également sur des thèmes tels que la solitude, les relations amoureuses, l'écologie, le réchauffement climatique, les gilets jaune, les hommes et les femmes politiques...
Ses mimiques sont maintenant célèbres et cela s'ajoute au plaisir jubilatoire !
8
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 4 juin 2020
Critique lue 555 fois
4 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Blanche Gardin - Bonne nuit Blanche
8
Franchir la Ligne Blanche
Après un premier spectacle absolument formidable de noirceur et de drôlerie , Blanche Gardin passe avec "délicatesse" et réussite le cap du second One woman show avec Bonne nuit Blanche. Certes...
Par
le 10 oct. 2019
10 j'aime
2
6
Elle ne veut pas de note
Dans l'humour il y a ceux qui balancent de gros lieux communs, ce sont la majorité des comiques mainstreams. Et une catégorie plus rare, ceux qui apportent au public un point de vue et une réflexion...
Par
le 10 févr. 2020
7 j'aime
4
Du même critique
8
Un vrai combat bien avant Me Too
"C’est l’histoire d’une grande amitié entre deux amoureuses de l’image, l’actrice Delphine Seyrig et la vidéaste Carole Roussopoulos. Quelques mois avant sa mort (en 2009), celle-ci décide de faire...
Par
le 31 janv. 2020
9 j'aime
1
9
Une femme admirable et bouleversante
Inconnue, elle était ma forme préférée, Je n’avais pas le souci d’être un homme, Et, vain, je m’étonne d’avoir eu à subir Mon désir comme un peu de soleil dans l’eau froide. Paul Eluard. Lassé de sa...
Par
le 6 déc. 2015
8 j'aime
7
L'été meurtri !
"L'été en pente douce" est plus un film d'atmosphère que d'autre chose. Ici, pas de scénario poussé très loin, pas de grandes intrigues. Mais tout y est juste, la jalousie, la bêtise, la rivalité, la...
Par
le 3 sept. 2016
8 j'aime
