Globalement assez attendu, en particulier dans la réalisation. Étonnant que la réalisatrice n’ait pas tenté plus d’originalité(s) quand on voit la scène de début, le générique de début et la scène de fin (mention spéciale pour celle-ci, qui est 100% cohérente avec la résolue modernité du Boléro) : il y avait un vrai potentiel de conceptualisation, de décalage dans la réalisation. Ou alors il aurait fallu s’en tenir à une réalisation littérale, mais dans cette configuration les scènes ‘modernisées’ ne sont pas très à propos.
Peu d’émotion, d’intensité, alors que l’œuvre de Ravel l’est profondément !
Enfin une histoire d’amour qui sert à quelque chose