L'incroyable histoire vraie d'un cambriolage historique à scandale, sur fonds de meurtres, sexe et corruption qui se cachaient derrière les coffres-forts londoniens du 185 Baker Street. Un hold-up seventeen made in England fourmillant de rebondissements qui avait fait la une de la presse britannique en septembre 1971. Magistralement mis en scène par le cinéaste Australien Roger Donaldson (Le Bounty, The November Man) qui met en vedette l'enfant du pays, Jason Statham (Arnaques, Crimes et Botanique, En eaux troubles) qui interprète un petit magouilleur, spécialisé dans le vol de voitures qui réussit avec ses amis d'enfance à braquer une prestigieuse banque londonienne, la Lloyd's Bank.
Mais avec l'argent, ils dérobent également de compromettants documents et autres photographies des plus hauts dignitaires du royaume…
Au casting de braqueurs amateurs so british, Saffron Burrows (La Fin de l'innocence sexuelle, Small Apartments), Richard Lintern (The Calling, Le Rêve de Cassandre), Stephen Campbell Moore (La Séductrice, London House), Daniel Mays (Vera Drake, Golem, le tueur de Londres), James Faulkner (Le Journal de Bridget Jones, Paul, Apôtre du Christ), Peter Bowles (Assassinats en tous genres, Lilting ou la Délicatesse), David Suchet (Greystoke, la légende de Tarzan, American Assassin), Keeley Hawes (Tournage dans un jardin anglais, Les Aventures extraordinaires d'un apprenti détective), Hattie Morahan (Mr. Holmes, La Belle et la Bête), Colin Salmon (Demain ne meurt jamais, Mortal Engines), Alki David, Alistair Petrie et la petite apparition de Mick Jagger.
Sans déconner, c'est la princesse Margaret !
Putain de merde !
Jusque-là, Terry Leather s’était toujours contenté de vols de voitures et de petites magouilles, mais lorsque Martine lui propose de participer au braquage infaillible d’une prestigieuse banque londonienne, il y voit la chance de sa vie… L’enjeu est une salle des coffres remplie de millions en liquide et en bijoux extraordinaires, mais Terry et son équipe ignorent que l’endroit renferme aussi quelques secrets que les plus puissants dignitaires du royaume ne veulent à aucun prix voir sortir… Voici l’incroyable histoire vraie d’un cambriolage à scandale où les voleurs sont certainement les plus innocents de l’affaire...
Ça ne te semble pas étrange que les journaux ne parlent pas du cambriolage ?
Ça me semble surtout inquiétant. Si les nouvelles peuvent disparaître, ça veut dire que nous aussi !
C'est l'invraisemblable histoire du célèbre casse des taupes de Baker Street qui ont laissé un champ de désolation dans l'agence bancaire de la Lloyd’s, avec plus de 260 coffres de particuliers défoncés pour un montant estimé à presque 4 millions de livres sterling de l'époque. Un des plus gros coups jamais réalisés outre-Manche sans armes, les casseurs laisseront même une inscription dans la salle des coffres : Voyons comment Sherlock Holmes résoudra cette énigme...
Un détonnant braquage de corruption et de scandales royaux déclenchés au départ par le personnage bien réel du sulfureux Michael X, leader du Black Power en Grande-Bretagne. Les apprenties cambrioleurs voulaient de l'argent, ils se retrouvent avec la police, les différents services secrets (MI-5 & MI-6), des ministres politiques et la pègre à leurs trousses ! En s'inspirant de ce mystérieux et audacieux cambriolage dont les dossiers ne seront rendus public par les autorités britanniques seulement qu’en 2054, l’affaire a été vite étouffée bien que certains gangsters aient fini par être arrêtés. Les scénaristes Dick Clement et Ian La Frenais ont bénéficié de sources confidentielles pour écrire le script de ce joli succès mondiale à plus de 66 millions de dollars de recette mondiale.
Le réalisateur Donaldson offre un thriller à l'ancienne mais vues mille fois, qui reste cependant efficace et réaliste avec un Jay charismatique, tout en retenue, chef de braqueurs amateurs tout sourire. AGNVS DEI MISERERE NOBIS.
C'est une sacrée coquine !