Burn Burn Burn réussit l'exploit de faire d'un buddy movie testamentaire un film à la vitalité débordante. On passe du rire aux larmes, de l'exaspération à l'empathie dans un maelstrom émotionnel. Le film en fait trop, il jaillit de l'écran, et pourtant c'est ce qui l'anime, et on suit nos deux héroïnes dans leurs péripéties, les yeux de plus en plus humides mais le sourire au lèvre (nous, pas les héroïnes). Laura Carmichael saura étonnée les fans de Downton Abbey, quant à moi je retiens les yeux au ciel de Chloe Pirrie.
PS : A quand une vraie sortie (méritée) sur les écrans en France ?
Le film en une scène :
La crucifixion.