Un malaise
C'est sans grande conviction que je me suis rendu au cinéma ce soir pour assister à C'est beau la vie quand on y pense. Disposant d'une place à seulement 5,5e à utiliser avant le 18 avril dans mon...
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le 18 avr. 2017
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Huit ans après le bide retentissant de "Rose et noir", Gérard Jugnot revient avec cette comédie (légèrement) dramatique très grand public, que j'ai regardé par égard pour l'acteur-réalisateur, qui nous a quand même offert 2-3 bons films à une certaine époque (formidable).
Ici c'est vraiment basique, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent, surtout que le jeune comédien casté par Jugnot est une vraie tête à claque - un certain François Deblock, qui semble pourtant enchaîner quelques tournages depuis...
La belle Gaia Weiss apparaît un peu tardivement dans le récit, et on ne croit pas une seconde à son coup de foudre pour l'autre grand dadais.
Quelques vieux copains du réalisateur (Isabelle Mergault, Bernard Le Coq…) viennent compléter le casting de "C'est beau la vie quand on y pense", un titre aussi peu inspiré que le reste.
Après, c'est le genre de petit film gentillet qui se regarde éventuellement un soir de fatigue, surtout que le décor breton de carte postale fait toujours son petit effet.
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Créée
le 18 mai 2019
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