ça n'aurait jamais dû commencer
Si j'y suis allée pour les beaux yeux de Michaël Cohen, je n'y ai vu pourtant que la saucisse hypra boursouflée so Knacky d'Emmanuelle Béart. Le film se perd dans un dédale de ridicule : pour combler l'absence de narration, le couple s'évertue à baiser dans les toilettes sordides des bars parisiens, dans des lieux déserts, sur un lit d'hôpital, sur le bureau de Gabrielle, comme si le couple fictif, double du couple réel, voulait à tout prix se prouver quelque chose. De fait le spectateur se fait voyeur malgré lui et ça en devient très gênant