Amour de l'inepte, du ridicule, de l'ennui, de la farce, de l'édifiant...
Cela dit, y a du nichon, du pubis, du muscle...
Pas tant de mensonges que ça sur la marchandise, donc.
Et au final, c'est infiniment plus bandant et moins raccoleur que tant de films français subventionnés : si prétentieux... si cooooool... si chichiteux (les atrocités d'Agnès Jaoui par exemple).
Le titre teuton est savoureux (cf. l'affiche) : Die Todesgöttin des Liebescamps.
La déesse de la mort du camp d'amour.
Critique circonstanciée, ici : https://www.senscritique.com/film/camp_d_amour/critique/221045216