Du bon film noir
Casino Raiders serait le premier film du sous-genre hong-kongais du gambling (univers bien sûr abordé bien avant dans plusieurs films américains notamment), et je souhaite écrire une critique...
Par
le 12 août 2020
1 j'aime
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Dans la pure (voir impure) tradition du genre, ce Casino Raiders est un bon produit sorti de la boîte à fabrique de Wong Jing.
Cette fois l'ambiance est plutôt sérieuse, malgré la présence du cabotin Alan Tam. Bien que n'inventant rien, ce film reste un produit agréable à suivre, voir fun. Du punch, des bastons, deux ou trois tour de passe-passe, quelques épaules féminines dénudées, pas d'erreur on a affaire à un produit labellisé.
Sachant allié rythme et nawak stylé, ce Gambling Movie est un produit de consommation qui se dévore sans modération.
A noter un final particulièrement attrayant, le reste se laisse voir sans souci.
Créée
le 22 août 2017
Critique lue 194 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Casino Raiders
Casino Raiders serait le premier film du sous-genre hong-kongais du gambling (univers bien sûr abordé bien avant dans plusieurs films américains notamment), et je souhaite écrire une critique...
Par
le 12 août 2020
1 j'aime
Avant de démocratiser les films de Gambling avec le célèbre God of Gamblers (Les Dieux du Jeu en VF), Wong Jing (Niki Larson, Future Cops) rencontrait déjà quelques mois seulement auparavant un joli...
Par
le 22 nov. 2011
1 j'aime
Du même critique
Dans La Chienne, second film parlant de Jean Renoir, c’est surtout quand les voix se taisent et que l’image reprend naturellement ses droits que le lyrisme dramatique s’impose pour offrir de grands...
le 31 janv. 2023
19 j'aime
2
Il y a des films dont la seconde vision peut totalement remettre en cause la vision première que l'on s'en était faite. The Million Dollar Baby en fait partie. Et j'avoue avoir été extrêmement déçu...
le 12 juil. 2022
19 j'aime
5
Première incursion de Clouzot dans un genre auquel il donna ses plus belles lettres de noblesse, en l’occurrence le thriller à la Hitchcock. Pour se faire il adopte un style emprunt à la Screwball...
le 21 avr. 2020
18 j'aime
8