Memories of free estivals
Traquer les trajectoires d’une famille comme tant d’autres, confrontée au deuil précoce d’une jeune fille : une sœur, une fille, une amante. Mickhaël Hers s’attarde sur ceux qui restent, sur leur...
le 11 mai 2017
26 j'aime
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Lawrence (Anders Danielsen Lie) vit une vie heureuse et amoureuse quand sa compagne Sasha (Stéphanie Daub-Laurent) meurt subitement. Le film va s’intéresser au travail de deuil du jeune homme ainsi que de la sœur de la défunte (Judith Chemla). C’est un film très simple et très doux dans lequel nous observons les protagonistes se reconstruire petit à petit, réapprendre à vivre, changer leur vie, déménager, oser aimer à nouveau, s’autoriser aussi à désaimer, à rêver d’amours désormais possibles. Le film est tourné en 16mm, ce qui renforce esthétiquement l’esprit mélancolique du récit. Je pense que Ce sentiment de l’été, en même temps qu’il fait le bilan de ses personnages, nous invite à en faire de même. Je suis vivant, je vis. Quel a été mon parcours pour arriver jusqu’ici ? Et maintenant, où veux-je aller ? Et avec qui ? Un joli film qui aidera sûrement les uns à panser leurs plaies.
Lire la suite dans notre dossier sur le FIFIB 2015 : http://miroirs.net/fifib-2015-22/
Créée
le 12 janv. 2016
Critique lue 397 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Ce sentiment de l'été
Traquer les trajectoires d’une famille comme tant d’autres, confrontée au deuil précoce d’une jeune fille : une sœur, une fille, une amante. Mickhaël Hers s’attarde sur ceux qui restent, sur leur...
le 11 mai 2017
26 j'aime
Ce sentiment de l'été c'est le ciel bleu et l'herbe verte, c'est les enfants qui jouent dans les fontaines et les adultes qui paressent le long des trottoirs, c'est la douce musique des pneus de vélo...
Par
le 20 févr. 2016
24 j'aime
3
La perte d'un être cher, provoque un sentiment de douleur qui paraît insurmontable et engendre une période très difficile à surpasser. Ce sentiment de l'été, c'est l'histoire de Zoé et Lawrence qui,...
Par
le 8 mars 2016
9 j'aime
Du même critique
Avant de découvrir Julien Donkey-Boy (1999), je ne connaissais de la filmographie d’Harmony Korine que Spring Breakers, et un court-métrage (Umshini Wam, avec les membres de Die Antwoord). Je le...
Par
le 18 janv. 2016
3 j'aime
La critique française est quasi unanime pour dire à quel point Le Fils de Saul (László Nemes, 2015) est un film « choc », « essentiel », qui trouve la manière « juste » de filmer « l’irreprésentable...
Par
le 18 janv. 2016
1 j'aime
Je découvre Sorcerer (William Friedkin, 1977) cet été dans une petite salle parisienne. Je ne connais alors presque rien du réalisateur de French Connexion et de L’Exorciste, mais ce qui m’attire est...
Par
le 18 janv. 2016
1 j'aime