Ce n’est pas un secret que je suis un grand fan du travail de Taylor Sheridan, surtout dans le genre action. Il est l’un des rares scénaristes/cinéastes d’action à avoir apporté un nouveau souffle au genre en modernisant les tropes classiques du western en les appliquant à des situations du 21e siècle. C’est incroyablement évident dans son « premier film » (il a fait un film en 2011 intitulé Vile, mais Sheridan lui-même ne le considère pas comme son premier film), Wind River, lors de la fusillade finale entre l’équipe de sécurité et les policiers. Il s’agit d’une séquence que l’on verrait probablement dans un western de John Ford, où une impasse culmine par une fusillade, ce qui achève la lente construction d’un moment hautement cathartique pour le spectateur, qui devient extrêmement satisfait d’avoir regardé le film jusqu’au bout.
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