Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il existe une certaine bienveillance à l’égard du dernier film du Sri-Lankais Vimukhti Jayasundara. Après une Caméra d’or à Cannes pour La Terre outragée, il est à nouveau question, dans Chatrak, de formalisme, de suggestion et d’expérience cinématographique tropicale. Le problème évident de Chatrak n’est pas là : pas dans le fait de mettre le spectateur face à des plans qui le laissent totalement perdu ; mais dans la sacralisation de ces moments d’hébétude – pour les personnages, pour le spectateur – sans qu’aucune tension ne puisse les relier à quoi que ce soit. Soit l’art pour l’art, ou le plan pour le plan.
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