Oui, je sais, ce n'est pas un vrai film et on ne recule pas devant les clichés ni les bons sentiments poisseux ; les discours gentillets à la Le Clézio autour du vivre ensemble mielleux et des identités multiples commencent à gaver sérieusement - en même temps qu’ils se fracassent contre le mur de la réalité...
Mais je m'en fiche, la musique et Isabelle Carré étaient trop bien !
le petit point cancel culture
De nobles intentions vivrensemble, mais nous ne pouvons laisser passer l’appropriation culturelle qui transparait à chaque plan. En même temps, vous me direz que le vivre ensemble implique nécessairement de l’appropriation culturelle, mais là je commence à avoir mal au crâne. A moins que le vivrensemble soit surtout du vivràcôtémaispasvraimentensemble, ce qui donne encore plus mal au crâne.