Délinquance juvénile
C'est entendu, Delannoy n'était pas un génie. Son adaptation du roman de Cesbron, sur la délinquance juvénile, est honnête, ni gaie ni triste, fataliste et humaniste. A sa sortie, un critique nommé...
le 27 sept. 2019
6 j'aime
Jusqu’à se brûler les ailes, fugue et espérance pour funambules sans repères. Bienveillance et parole juste pour une jeunesse cabossée.
Créée
le 18 sept. 2024
Critique lue 3 fois
D'autres avis sur Chiens perdus sans collier
C'est entendu, Delannoy n'était pas un génie. Son adaptation du roman de Cesbron, sur la délinquance juvénile, est honnête, ni gaie ni triste, fataliste et humaniste. A sa sortie, un critique nommé...
le 27 sept. 2019
6 j'aime
Il s'agit d'un film en noir et blanc qui nous emmène dans le milieu de la justice pour enfants. Le scénario tiré d'un roman de Cesbron. Il est équilibré décrivant des situations tragiques et d'autres...
Par
le 12 déc. 2014
6 j'aime
Jean Gabin joue un juge pour enfants, qui doit justement les replacer dans des lieux qui leur sont adaptés. A savoir trois d'entre eux ; un pyromane qui a manqué de faire brûler une ferme, un garçon...
Par
le 25 oct. 2021
4 j'aime
Du même critique
Devenir père est un chemin balisé par l’amour et la transmission. Entre liens du sang et liens du cœur, une ballade pudique et douce-amère. La paternité est à la fois éternelle et changeante. La...
Par
le 19 août 2024
5 j'aime
Une réussite en tous points : casting, mise en scène, narration avec son montage alterné, une dramaturgie des émotions et des actions. Et le roman est très simplifié sans être trahi car l’imaginaire...
Par
le 11 juil. 2024
5 j'aime
Avec gravité ou légèreté, liens du sang et du cœur s’accordent dans la fraternité de la musique. C’est un film qui fait du bien. Entre sourire, rire parfois, profonde émotion, souvent. Jamais...
Par
le 30 nov. 2024
4 j'aime
3