Film franco-italien de Giuseppe Tornatore, Cinema Paradiso raconte l’histoire de Salvatore qui se remémore son enfance en Sicile à l’annonce de la mort de son ami son ami, le vieux projectionniste Alfredo, qui lui a donné l’amour des métiers du cinéma.
Le film brille par sa sincérité. Empreint de nostalgie, l’œuvre est une déclaration d’amour à l’art du cinéma tel qu’il s’effectuait à ses balbutiements. L’histoire d’amitié, telle qu’elle est racontée ici, est un puissant fil rouge, qui nous émerveille du début à la fin, avec un dénouement des plus merveilleux. L’identité du film est très distinctive, l’ambiance musicale est jolie, le schéma narratif est très plaisant et il bénéficie d’un rythme soigné.
Les acteurs font des merveilles. Je les ai adorés.
Je ne sais pas quoi ajouter à propos de ce film merveilleux, à part qu’il n’a pas été un coup de cœur pour moi en dépit de toutes ses belles qualités (mais on n’y était pas loin). J’ai vraiment beaucoup aimé, et j’ai passé un très bon moment, plein de tendresse et de nostalgie.