En insistant sur la libération que provoque le changement de sexe de la jeune Suzanna, devenue le jeune Coby, Christian Sonderegger vise juste. Plutôt que de se concentrer sur le mal-être passé, celui-ci vient documenter dans Coby, l’émerveillement de celui-ci que suscite la découverte d’un corps qui lui correspond enfin. Ici, on découvre une jeune femme devenant un homme, comme ça aurait put être un jeune homme devenant une femme. Ou bien un jeune homme devenant… Un jeune homme. Au fond, peu importe : la finalité d’une métamorphose surpasse ici son point initial
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