Après un début excellent encore marqué par l'influence américaine de Lubitsch (le porte-monnaie circulant ou l'enfant réveillant son père à coup de bâton), le film peine à trouver un deuxième souffle avec son père de famille qui tente de séduire une jeune femme. Il faut attendre la sublime scène de la colère du fils sur l'analphabétisme de son père pour retourner dans le film de nouveau pour heureusement ne plus y sortir. La dernière scène retrouve d'ailleurs la fraicheur de son début et fait oublier le léger enlisement sentimental.
Film au final inégal mais dont une poignée de scènes demeure fortement en mémoire.
(Avis de 2007)