Enfermée dedans !
Le seul film que j’avais vu de Bertrand Bonello jusqu’ici était L’Apollonide : souvenirs d’une maison close, donc la seule chose que je sais de ce réalisateur et de son style, c’est que je ne sais...
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le 18 nov. 2022
22 j'aime
5
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Critiques
Le seul film que j’avais vu de Bertrand Bonello jusqu’ici était L’Apollonide : souvenirs d’une maison close, donc la seule chose que je sais de ce réalisateur et de son style, c’est que je ne sais...
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le 18 nov. 2022
22 j'aime
5
La phrase prononcée par Gilles Deleuze retranscrite à l'écran "Ne soyez jamais pris dans le rêve de l’autre..." est l'antithèse du nouveau long-métrage (dé)borderline de l'inventif Bertrand Bonello...
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le 15 juin 2022
9 j'aime
Avec Coma, Bonello conclut sa trilogie de la jeunesse, qui après avoir suivi les élans de révolte (Nocturama) et l’ouverture sur un autre monde (Zombi Child) s’achève dans le confinement : cet opus,...
le 1 déc. 2022
8 j'aime
Bonnello se voudrait metaphysicien d'une jeunesse en déshérence, alors que son film n'est qu'une longue (malgré sa courte durée) et pénible litanie sur les méfaits de l'immatériel affectant les ...
le 5 déc. 2022
3 j'aime
2020, vu par une jeune fille clouée au lit, pétrie de doutes et d’amertume à l’annonce du grand confinement. Tentant par tous les moyens de recréer un quotidien un tant soit peu ludique, elle se...
le 7 oct. 2022
3 j'aime
Je ne pensais pas que c'était un film expérimental.L'intrigue est faible. Ça ne devrait pas avoir d'importance dans le cadre d'un film expérimental mais dans ce cas-ci ça gêne quand même car elle est...
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le 20 mai 2023
2 j'aime
Celui-ci ayant été assez mal distribué, je n’ai pas eu la possibilité de voir en salle le dernier film de Bertrand Bonello. Pourtant, dieu sait que Bonello, c’est comme Kechiche ou Guiraudie, j’en...
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le 4 mai 2023
1 j'aime
La récurrence des rêves ou des cauchemars peuvent encore inspirer, autant qu'effrayer. Mais la démarche de Bertrand Bonello (Zombi Child) est dans une osmose de ces deux sensations. De même, il ouvre...
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le 5 juil. 2022
1 j'aime
COMA commence comme une lettre audiovisuelle, avec des images illisibles, des sons indiscernables et des sous-titres sans paroles, dédicace, réflexion, adresse du cinéaste à Anna, sur l'époque...
le 28 mai 2023
Je ne connais pas le cinéma de Bonnello, et son introduction ultra-pénible et désorientante, en forme de lettre abstraite à sa fille, n'en donne pas la meilleure image. On retrouve le même procédé...
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le 14 avr. 2023