Raaaaaaaaaaaaah ! La barbaritude m’emplit de joie ! C’est premier degré ; c’est rustre ; c’est brutal : c’est direct. Mais d’un autre côté, il y a une vraie ambiance et un univers entre fantasy et mélancolie assez bizarre. Ce film est comme une sorte de résurrection de l'humain par sa bestialité. Une sorte de chant émancipateur par la bestialité et le retour aux fondamentaux. Une ôde totalement contre-intuitive pour notre époque mais qui a un certain sens au début des années 80. Bref, il y a quelque-chose qui m’habite dans ce film… Enfin bon, pour résumer : moi, j’adore ça. Et quand en plus Basile Pouledoris sort l’une de ses plus belles instrus de l’histoire du cinéma, moi je suis ravi.