On retrouve dans Coquin de printemps notre cher Jiminy Cricket qu’on avait rencontré dans Pinocchio toujours pétillant « la vie n’est que chanson, joie, gaieté ».
La première partie de ce film d’animation retrace l’histoire de Bongo un ours brun qui fait du cirque. Mais après ses tours il retourne dans sa cage enfermé. Et il rêve. Puis il finit par s’échapper, appeler par la nature, le voilà libre. Et aussi mort de peur dans un endroit où il ne connaît rien. Puis il rencontre une jeune ourse et c’est l’amour, mais aussi le chagrin d’amour parce qu’il n’a pas compris que se donner une claque c’est ce dire je t’aime en ours, mais ils se retrouvent.
La deuxième partie, Jiminy s’incruste à une fête où il y a des humains et des guignols animés et le père nous raconte une histoire. Et tout le monde se glisse dans sa pensée réellement. C’est le printemps, la joie mais aussi la famine pour les paysans. On retrouve nos 3 copains Mickey, Donald et Dingo. Après avoir vendu leur unique vache au marché on leur vend des haricots magiques et une fois planté à la lumière de la lune pousse un immense arbre. Une référence à Jacques et le haricot magique un conte populaire.
Le personnage de Mortimer est très drôle.