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"Un coup de foudre à Manhattan" est à Dominique Strauss-Kahn ce que "Habemus Papam" est à Benoît XVI. Comprend qui peut... Mais on ne peut nier le côté soft de cette drôle de coïncidence romantique...
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le 29 mars 2013
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Bon, c'est vrai que ces trois étoiles sont généreuses, mais pas non plus imméritées. D'ailleurs, bien que sympathique, la première partie est assez banale, distillant toutefois un charme discret permettant de prendre un certain plaisir. Tout cela a beau être hautement improbable (euphémisme), on se laisse séduire par cette romance ne cherchant pas à se donner de grand airs, la simplicité de son intrigue principale étant en définitive un atout. Car la différence se fait aussi dans les détails : les décors de l'hôtel sont ainsi bien exploités, et on se réjouit que l'amour pour les seconds rôles savoureux n'ait pas totalement disparu, tous s'avérant particulièrement à leur avantage.
Et puis, cela a beau ne pas aller très loin, on a quand même droit à une légère réflexion sur les minorités et l'influence des médias sur la politique, donnant au film un petit fond pas antipathique. Notons enfin une Jennifer Lopez nettement plus convaincante qu'à l'accoutumée, et vous comprendrez que sans être exceptionnel, loin de là, « Coup de foudre à Manhattan » se regarde toutefois agréablement : c'est là l'essentiel.
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Créée
le 22 avr. 2018
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