Séduction narcissique, vampirisation identitaire, démon intime de l’écriture. Fiction ou réel de l’imposture, signature d’un mauvais Roman.
Tout aurait pu me plaire : confusion réel – imaginaire dans les affres de la création ou de l’impossibilité de créer (angoisse de la feuille blanche ) La thématique du double , de l’emprise , de la perte de l'identité à travers l’absorption de soi par une autre (une autre version que l’absorption de soi avec identification ou possession par son personnage de roman) Mais il n’y a pas de mystère, pas même d’angoisse. C’est grossièrement amené avec des personnages si peu consistants et des dialogues un peu affligeants .J’ai imaginé ce que De Palma aurait pu faire de cette histoire.