Un clown triste
Il faut d'abord que je parle des conditions de visionnage de ce film, très particulières. Ayant eu l'honneur d'être convié à la Cinéexpérience #1, organisée par SensCritique, je ne savais pas ce que...
Par
le 26 mai 2015
23 j'aime
5
Après avoir participé à l’écriture de plusieurs films infantiles, Maya Forbes a pris l’initiative de nous faire part, à l’occasion de son premier film, de ses souvenirs d’enfance et en particulier des problèmes qu’a rencontré sa famille concernant les responsabilités données à son père malgré ses troubles maniaco-dépressifs. La réalisatrice est même allée jusqu’à donner à sa fille son propre rôle, faisant de son film autobiographique une véritable petite entreprise familiale. Visiblement touché par la sincérité du projet, J.J. Abrams, le réalisateur de Star Wars 7, et sa boite de production Bad Robot, a permis au film de profiter d’un budget supérieur à ceux des productions indépendantes (6,7 millions de dollars) mais aussi de se faire connaitre à l’occasion du festival de Sundance.
La suite sur http://www.cineseries-mag.fr/daddy-cool-film-de-maya-forbes-critique/
Créée
le 27 juin 2015
Critique lue 557 fois
5 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Daddy Cool
Il faut d'abord que je parle des conditions de visionnage de ce film, très particulières. Ayant eu l'honneur d'être convié à la Cinéexpérience #1, organisée par SensCritique, je ne savais pas ce que...
Par
le 26 mai 2015
23 j'aime
5
Premières Deauville 2014 - Premier film de Maya Forbes, "Infinitely Polar Bears" se présente comme un feel good movie mettant en scène Mark Ruffalo dans le rôle d'un père bipolaire. Avec sa...
le 13 sept. 2014
6 j'aime
Je pense que tous les participants de la Cinexperience étaient d'accord : l'expérience était clairement plutôt sympa ! Pour ce qui est du film, il y a plusieurs écoles : beaucoup aimé, aimé, moins...
Par
le 27 mai 2015
6 j'aime
Du même critique
- Alien : le 8ème passager -, premier volet de la plus terrible saga de Science-fiction de tous les temps, le seul Ripley Scott Film d'ailleurs avant que se succèdent James Cameron, David Fincher, et...
Par
le 19 mars 2014
70 j'aime
5
- Valse avec Bachir - m'est tombé dessus sans crier gare et m'a bien secoué. Il m'a littéralement baffé et rebaffé, et les traces sur ma joue resteront je pense un bon moment. J'appuie sur Play, sans...
Par
le 12 janv. 2014
58 j'aime
5
Comme Clint Eastwood le fera plus tard avec - Lettres d'Iwo Jima - et peut être s'en est-il inspiré, - Le Tombeau des Lucioles - montre la seconde guerre côté japonnais. On a affaire à un...
Par
le 16 janv. 2014
50 j'aime
5