Biopic de Salvador Dali, réalisé par Harron en 2k sphérique panavision avec un petit budget, c'est un échec dédié Vod\vidéo. Daliland commence par présenter le personnage, pour revenir en 1974, dans un passage à New York en vue d'une exposition. Une galerie d'art avec un jeune personnage qui se rend chez le peintre pour des acomptes, et se retrouve invité par le maître à devenir son assistant.
L'univers coloré et somptueux de l'artiste est dessiné parfaitement, pour pénétrer les relations entre les personnages. La vie mondaine représentée enveloppe brillamment le peintre, en reliant les personnages dans la vie de l'un des plus grands artistes du XXe siècle. La folie de l'artiste le plus rentable de sa génération survole l'influence et la splendeur d'une vie poussée au maximum.
Le style romancé et rock n' roll exploite l'époque en gravitant autour d'une tragédie qui clôt le spectacle de l'exposition. La vision naïve du jeune personnage continue le voyage vers l'Europe, pour organiser les divagations troublantes du peintre. La dérive puissante rejoint l'intimité du personnage, en sombrant dans une situation incroyable, lors d'un dénouement émouvant, pour cette œuvre qui offre une forme de biographie légère avec un personnage qu'il est bon de revoir, même dans une composition.
Entrées Salles Usa : env. 10.000 - Entrées Salles Italie : env. 20.000 - Entrées Salles Russie : env. 20.000.
> https://youtu.be/VPJKo9f4Llc