Vincenzo Natali, réalisateur de Cube et Splice, signe une adaptation de Stephen King assez médiocre avec Dans les hautes herbes dans lequel un concept livré clé en main, idéal pour un épisode de La Quatrième Dimension, s'embourbe dans les impasses de scénario, dans une mythologie imbitable, dans des visions indiscernables et dans le cabotinage en règle de Patrick Wilson pour justifier sa durée d'1h40. Heureusement, comme ses personnages, le film s'est déjà perdu dans les limbes de Netflix...
Par ici la bafouille : https://supermarieblog.com/2019/11/28/dans-les-hautes-herbes/