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La subversion en produit de consommation

Le film se veut subversif, dénonçant avec une ironie appuyée les travers des productions de super-héros modernes, mais finit par s’empêtrer lui-même dans ce qu'il critique.

Les caméos deviennent légion, les scènes d'action et les dialogues peinent à trouver leur ton, oscillant maladroitement entre humour forcé et drame sans poids. Tout semble sans conséquence, chaque scène se succédant sans que la narration ne parvienne à capter un réel intérêt.

En somme, Disney transforme la subversion en un simple produit de consommation.

cadreum
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le 24 oct. 2024

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cadreum

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