On se régale de voir l’impérial Von Stroheim, le cynique Jules Berry ou le cabotin Michel Simon, et même les apparitions de Carette, par exemple ou encore Elvire Popesco et Gaby Morlay De plus au détour d’une scène, l’émotion peut naître ( l’aveugle qui croit posséder encore des tableaux )
Le jeu de Jules Berry ou de Lucien Baroux fait ainsi merveille dans des dialogues très écrits et pourtant la plupart du temps « naturels ». C’est l’occasion de retrouver ces acteurs qui ont enchanté leur époque et qui, à eux seuls, justifient de voir ce film, mineur, mais constamment plaisant.