7
Lost Highway
Rapidement tourné, Detour pourrait représenter l'archétype du film noir, une suite d'évènements dramatiques, un protagoniste héritant d'une situation malheureuse, des morts, une voix-off, un long...
le 20 juil. 2022
15 j'aime
5
Changez-les en poules laides
Détour a été tournée en six jours si j'en crois la jacquette de mon DVD. Eh ben figurez-vous que ça se voit, c'est plutôt torché (le cadreur passe son temps à se prendre les pieds dans le tapis !).
Mais y a un bon côté, c'est rapide, nerveux, on s'embarrasse pas de fioritures. Hop on avance quoiqu'il arrive dans ce road-trip noir.
Je me répète, mais le point faible des séries B, ça reste les acteurs. Ce qui me déprime le plus, c'est la laideur des actrices. Parce que ça soit difficile de trouver des gens qui savent bien jouer, OK, je veux bien, mais pourquoi les choisir laids en plus.
Ce ne sont pas les jolies filles qui manquaient à Hollywood quand même !
Mais y a un bon côté, c'est rapide, nerveux, on s'embarrasse pas de fioritures. Hop on avance quoiqu'il arrive dans ce road-trip noir.
Je me répète, mais le point faible des séries B, ça reste les acteurs. Ce qui me déprime le plus, c'est la laideur des actrices. Parce que ça soit difficile de trouver des gens qui savent bien jouer, OK, je veux bien, mais pourquoi les choisir laids en plus.
Ce ne sont pas les jolies filles qui manquaient à Hollywood quand même !
7
Écrit par
Créée
le 2 févr. 2011
Critique lue 715 fois
12 j'aime
6 commentaires
D'autres avis sur Détour
6
Bitch-hiker
Faire des conditions de tournage un argument de vente de son œuvre peut s’avérer payant : Ulmer a ainsi prétendu que son film Détour, à l’origine une simple série B de 68 minutes, avait été tourné en...
le 16 sept. 2020
13 j'aime
9
7
Changez-les en poules laides
Détour a été tournée en six jours si j'en crois la jacquette de mon DVD. Eh ben figurez-vous que ça se voit, c'est plutôt torché (le cadreur passe son temps à se prendre les pieds dans le tapis...
Par
le 2 févr. 2011
12 j'aime
6
Du même critique
5
Amour chaînes
En se concentrant purement sur une exégèse westernienne du film, on va dire qu'il y a trois inspirations différentes. La première se place dans la tradition assez classique du western. On est au...
Par
le 22 janv. 2013
72 j'aime
8
9
C'est bath Mann
Un Anthony Mann avec James Stewart, rien de plus classique. Sauf que le personnage principal est une winchester 73. Carabine à 15 coups, surnommée "the gun that won the west », elle attire à elle...
Par
le 26 janv. 2011
51 j'aime
15
8
Les moissons du fiel
City Girl démontre par le sublime que les bouseux sont des dégénérés. Alors oui, c'est pas un scoop, mais c'est toujours bien de rappeler quelques vérités dans ce bas monde. Lecture toute subjective...
Par
le 11 déc. 2010
48 j'aime
20
