Faussement humaniste et outrageusement redondant, « Deux jours, une nuit » semble parfaitement taillé pour Cannes et son petit gratin de bobos cinéphiles qui se plaisent trop souvent à faire l’apologie du pathos pour mieux étinceler en société.
QuentinP
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le 7 févr. 2015

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Babz  ou

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