Fatigué, hésitation, se coucher après avoir maté un épisode quelconque d'une série en cours, possible, suivi d'un couché simple et d'un endormissement propice et agréable devant la tv allumée sur une banalité...
Voir un film, tout en bravant la lourdeur de mes paupières, ça c'est une autre théorie d'une soirée simple et routinière... La plus plausible sans doute et celle qui fut, simplement le film, que devait être le film ? Un truc pas long, plutôt court et pas long, surtout pas long, je n'avais sans doute, et même surement pas envie de film long, j'ai favorisé ou choisi sur le coup, une pulsion, commune ? Déjà vécue en tout cas... Qu'elle est-elle ? Je la connais, et vous ? GODARD...
Toujours perdu... toujours amusé, toujours hypnotisé, toujours emmerdé, ça ne change pas, je ne comprends pas tout, JLG chuchote au milieu des bruits de ville et chantiers forts et désagréable. IL présente PANAM et une femme, comme la ville étant une femme ou plusieurs... Prostituée du monde.
Je me perds... je pense à autre chose et je reviens, soudain dans son œuvre, au cadrage étonnant et ma foi excellent... Le casting comme toujours vivant à travers l'image, ne jouant pas, vivant à travers le cadre.
Que dire de plus ? Sans doute pas grand-chose, une expérience de plus de découvert dans le cinéma du suisse, une expérience plaisante et rude à la fois, aimé ou non, je ne sais plus, je ne saurais jamais, et qui sait... Je suis peut être addict à l'incompréhension d'un terrible coup de vent cinématographique bénéfique ou non.