Dites, les garçons, on a tous connu un jour, non, ce genre de fille (surtout au tout début de l'âge adulte) fofolle et fantasque, qui nous ont mené par le bout du nez, dont on est tombé (un peu) raide dingue, et avec qui on ne savait jamais sur quel pied danser ?
Une qui nous faisait craquer en un instant et qui nous donnait envie de la gifler trois secondes plus tard ? Dont on ne savait jamais si elle jouait avec nous ou si elle cachait un vrai petit truc pour nous ?
Une qui nous rendait fou, quoi... Qui nous rendait idiot et nous faisait fouler au pied nos quelques rares principes d'alors.
Ouais, et beh là c'est Audrey.
Alors bien sûr, dans notre souvenir, on était bien mieux que ce falot (ballot ? palot ?) George Peppard (futur Hannibal Smith, vache !), mais peu de fille qu'on a pu croiser avait l'aura d'Audrey, non ?
Bon, puis, souvent, ça ne se finissait pas comme dans ce Breakfast at Tiffany's.
Donc voilà. C'est cette histoire, mais plongée dans une toute autre dimension:
New York, Hepburn, Edwards, Mancini, tiré d'un roman de Capote, des fringues affolantes...
Classieux.
Et puis Audrey, qui nous fredonne une chansonette à la guitare à sa fenêtre.
Audreeeeey...!!