Le souvenir bancal que j'avais de ce film s'est un peu ordonné à cette nouvelle vision.
Le mélange de pathétique et de légèreté a mieux fonctionné cette fois, et même George Peppard, pourtant toujours trop fade pour ce rôle, ne m'a pas autant dérangé...
De toutes façons, il y a Audrey, la seule personne au monde capable de porter ce genre de vêtements et d'utiliser un fume-cigarette d'un mètre sans ridicule... Audrey au lit, Audrey chez le bijoutier, Audrey à la bibliothèque, Audrey au strip-tease, Audrey qui cherche son chat et Audrey qui chante Moon River...
Alors on oublie Mickey Rooney en Japonais, le gigolo de l'étage du dessus joué par un acteur d'une classe en-dessous et on regarde Audrey...