Réduits à survivre
La très grande force de Dirty Pretty Things est de coudre ensemble une dénonciation sans compromis des conditions de travail que doivent subir les invisibles, c’est-à-dire ceux qui ne disposent pas...
le 15 mars 2020
3 j'aime
Créée
le 6 mai 2012
Critique lue 799 fois
7 j'aime
D'autres avis sur Dirty Pretty Things : Loin de chez eux
La très grande force de Dirty Pretty Things est de coudre ensemble une dénonciation sans compromis des conditions de travail que doivent subir les invisibles, c’est-à-dire ceux qui ne disposent pas...
le 15 mars 2020
3 j'aime
Un homme d'origine nigériane vit à Londres dans un hôtel miteux de Londres en compagnie d'une jeune femme turque en quête de papiers. Réfugié illégalement en Angleterre, poursuivis par les servies...
Par
le 18 mars 2022
1 j'aime
On pense au début que Stephen Frears renoue avec son premier amour avec ce film celui de la comédie dramatique sociale avec galerie de personnages aux accents multiculturels. On suit plusieurs...
Par
le 18 juin 2020
Du même critique
Quelque part au fond de mon cerveau, quelque part dans un coin reculé où je ne vais heureusement presque jamais, quelque part il y a comme un nuage sombre. Un souvenir qui ne s'efface pas, souvenir...
Par
le 11 oct. 2010
38 j'aime
10
Clovis Cornillac est un peu le Nicolas Cage français, un acteur génial capable de jouer dans les films les plus nazes en s'investissant comme si c'était du Kubrick. Mais non, réveille-toi Clovis, tu...
Par
le 1 avr. 2012
33 j'aime
4
Il y a 3 générations d'inventeurs dans la famille Steam. Tandis que le père et le grand-père font des recherches à travers la monde, financés par une fondation américaine (dont l'héritière s'appelle...
Par
le 11 oct. 2010
23 j'aime