Pour ceux qui cherchent la différence entre un kaléidoscope et ce film, la réponse est simple.
Un kaléidoscope ne s’arrête pas au bout de 90 minutes, et les possibilités visuelles qu’il offre sont en théorie infinies. Voilà. Mais un kaléidoscope n’offre pas un défilé cosmique de phrases éclairées type « la mort donne du sens à la vie » ou « oubliez ce que vous croyez savoir ». Il n’offre pas non plus de cours de friendzonage par Rachel McAdams, ni la possibilité à la population mondiale de rester impassible quand des hommes en tenue de soie débarquent dans leur ville par des portails de lumière pour se foutre sur la gueule.
C’est vous qui voyez.